Traveling as a way of life and celebrating the joy of living this beautiful life together!
Thursday, March 31, 2011
Les anniversaires
:: Un beau cadeau fabriqué de toutes pièces par des amis extraordinaires ::
:: Mara apprend à jouer avec les pros, rien de moins! ::
:: Trois petits soleil le matin de mon anniversaire ::
:: Ma belle table d'anniversaire avec déjeuner de fruits succulents ::
:: Une superbe aquarelle qu'une amie très chère d'Italie a fait pour nous à partir de cette photo prise au Yukon cet été que JF a fait encadré pour moi! ::
Saturday, March 26, 2011
Cabane à sucre végé
Belle petite cabane loin de tout...
Jardins et serres sur une île au milieu de la rivière...
Un charme indéniable...
Pain au levain...
Et repas succulent composé de légumes de leur jardin (salade de chou et carottes, choucroute, betteraves et cornichons dans le vinaigre mis en conserve l'automne dernier, pommes de terre), fèves au lard au sirop (végétariennes, bien sûr!), tourtière au millet, pâté au tofu, succulente tourte aux adzukis avec crème sûre maison, omelette aux fines herbes... Suivis de délicieuses crêpes à la farine de blé entier et lait de soya et de carrés à l'érable croustillants aux graines de tournesol.
Le tout, servi dans de la poterie fabriquée sur place! Oh oui, c'est mon genre d'endroit!!
:: Notre belle Mara ::
:: Et Mathilde! ::
Sans oublier la tire, évidemment!!
Pour ceux qui ont envie de créer une tradition différente et de célébrer l'arrivée du printemps dans la joie, le respect de la nature et la santé, c'est l'endroit rêvé! On repart le ventre plein, mais les artères en santé!
Friday, March 25, 2011
A juggling act
It sure is not easy to balance everyone's needs on a regular basis, let alone when your mind is busy researching solutions, reading all night, making appointments... Things get piled up in every corner of the house, sisters fight and cry more than usual, parents scratch their heads and try to be there for them...
Ce n'est déjà pas facile de répondre aux besoins de tous sur une base quotidienne, quand notre esprit est occupé à chercher des solutions, à lire jusqu'aux petites heures du matin, à prendre des rendez-vous... Les choses s'empilent dans tous les coins de la maison, des petites filles se chicanent et pleurent plus que d'habitude, les parents se grattent la tête et essaient d'être là pour elles...
In such a situation, the thing that works the best for us is to have one-on-one outings. It seems to work wonders... and when a little someone is having a meltdown over a way too expensive pj, you know that she is letting some steam out... and that crying is healing... and that life will go on. We just need to stay calm and loving and playful and honest... and we will be just fine.
Dans une telle situation, ce qui fonctionne le mieux est de faire des sorties un à un. Ça fonctionne tellement bien... et quand une petite fille fait une crise démesurée parce qu'elle veut absolument un pyjama ridiculement cher, on sait que c'est un bon exutoire pour le trop plein d'émotions... et que de pleurer soulage... et que la vie suivra son cours. Nous devons simplement rester calmes et aimants et légers et honnêtes... et tout ira bien.
Wednesday, March 23, 2011
Une triste nouvelle/Sad news
Nous avons appris hier que notre petite Mara souffrait d'absences épileptiques. Elle semble en avoir de plus en plus chaque jour (20 à 30 à l'heure actuelle) et nous devons prendre des décisions quant au traitement. Si jamais vous connaissez des familles qui ont exploré des traitements naturels et qui ont trouvé quelque chose qui fonctionnait pour elles, laissez-moi un commentaire avec leur courriel s.v.p.
Nous sommes attristés par cette nouvelle et sommes un peu en choc, mais nous avons aussi confiance que tout ira bien.
We found out yesterday that our sweet little Mara suffers from Childhood absences epilepsy. She seems to be having more and more everyday (20 to 30 right now) and we have some decisions to make about the treatment. If ever you know some families who looked into natural treatments and found something that worked for them, please leave a comment with their e-mail address...
We are saddened by that news and are in a bit of a shock right now, but we also feel confident that she will be OK.
Sunday, March 20, 2011
Cru moi, cru moi pas
:: Madame Dégel est enfin arrivée! On avait hâte de lui voir le bout du nez! ::
Il est grand temps que je vous fasse un rapport sur mon année toute crue, débutée le 1er janvier 2011... Le premier mois s'est très bien déroulé. Les filles mangeaient ce que je préparais sans rechigner, je crois que tout le monde avait grand besoin d'un nettoyage après les Fêtes. Je me sentais très bien, pleine d'énergie, seulement deux migraines dans tout le mois et pas d'envie aucune d'autres types de nourriture. À partir du deuxième mois, les filles ont commencé à ne plus vouloir manger ce qui leur était servi. Elles demandaient des pâtes, de la viande, du pain, etc. Je leur faisais du riz brun, du quinoa, des œufs... Je leur ai acheté du yogourt, mais c'était de pire en pire. L'heure des repas était en train de devenir un vrai cauchemar, un moment de tension pour tous...
J'ai donc commencé à faire des recettes crues plus élaborées (avec plus de noix et d'huile), le résultat n'était pas toujours concluant, mais nous avions quand même trouvé quelques recettes qui plaisaient à tous... Je les ai faites ad nauseam... J'avais de plus en plus de migraines (2 par semaine environ), même en restant 100 % cru. Et je me sentais fatiguée, besoin de sieste l'après-midi, pas d'énergie... Ça m'a un peu découragée... Je n'avais toutefois pas d'envie d'autres types d'aliments, même ceux que je cuisinais pour les filles.
Puis, au début mars, nous avons vendu la maison le même jour que ma mère a vendu la sienne et JF a suggéré d'aller fêter ça au resto... Ma première réaction a été de ne pas vouloir y aller, puis je me suis ravisée... C'était un resto auquel j'ai déjà travaillé qui venait de rouvrir ses portes... j'avais vraiment envie d'y aller. Je me remettrais au cru dès le lendemain... Ce fut délicieux (j'ai mangé de tout : blé, fromage, sucre raffiné) et je ne m'en suis pas porté plus mal (étonnamment). Et ce fut le début de la descente aux enfers, comme l'explique si bien Frédéric Patenaude dans son dernier livre Raw food controversies.
Les envies sont revenues au galop (les aliments qui contiennent du gluten, des produits laitiers, du sucre ou du sel ont réellement l'effet d'une drogue sur le système!) et je me suis mise à justifier les écarts... (il faut vider les réserves avant le déménagement : nous avons beaucoup de grains, farines et légumineuses, conserves maison en grandes quantités, j'en ai marre des chicanes autour de la nourriture avec les enfants, de toute façon, j'ai autant de migraines qu'avant, etc.).
J'ai aussitôt senti que mon ventre gonflait, que ma gorge se remplissait de mucus, que mes idées s'embrouillaient, que je baillais et que je m'endormais si je consommais des produits laitiers...
C'est à peu près à ce moment-là que j'ai terminé Raw food controversies de Patenaude, dans lequel il parle d'une diète principalement crue faible en gras (il y ajoute des patates sucrées, courge cuite, légumes vapeurs et riz brun à l'occasion, salsa cuite pour agrémenter sa salade sans huile, etc.) qui semblerait bien me convenir. Ce qui est clair, c'est que pour manger 100 % cru, je ne dois pas manger plus de 25-30 % de gras, sinon, je ne me sens pas bien et j'ai autant de migraines et peu d'énergie. Donc, je dois manger des tonnes de fruits et je ne réussis pas à tenir la diète faible en gras 100 % crue très longtemps, car je viens écœurée du goût sucré tout le temps...
Bref, dans un monde idéal, j'adopterais la diète principalement crue de Patenaude avec quelques légumes cuits ou riz brun le soir au goût. J'aimerais tout de même pouvoir faire des écarts lors d'événements sociaux. J'aime ça pouvoir aller manger au resto avec mon chum de temps en temps.... Je trouve ça pénible de traîner mon smoothie à la cabane à sucre quand tout le monde se régale... Le plaisir de partager un repas est tellement important pour moi, et depuis que je dois cuisiner d'autres repas pour les enfants (et ce n'est plus juste du quinoa et des œufs, c'est le retour aux repas sains, mais cuits, que je préparais avant...), je trouve ça très difficile et pénible de ne pas en manger. Je trouve ça tristounet de m'asseoir avec elles et de tétouiller mon smoothie et les regarder manger des burgers de millet...
Alors, elle est où la solution? J'ai tout pour me motiver : l'été arrive, on est sur le point d'acheter les billets pour le Costa Rica pour novembre prochain (donc un hiver plein de fruits tropicaux), des symptômes on ne peut plus clairs... mais Dieu que c'est dur! Ça prend une motivation et une volonté de fer... qu'un tout petit écart vient tout faire chambouler dans mon cas... Je crois que différentes personnes réagissent différemment aux écarts, mais les gens qui ont des intolérances alimentaires marquées (comme moi) ont une réaction plus forte...
Alors voilà, comme un alcoolique, je recommence chaque matin (avec un déjeuner cru, bien motivée) et me couche le ventre plein de nourriture cuite, pour me promettre de recommencer le lendemain...
Le pire, c'est que je me sens seule dans tout cela. On n'est pas nombreux à faire des choix si... intégristes... et j'ai bien peur que peu nombreux sont ceux qui peuvent réellement comprendre les défis auxquels je fais face...
Et vous, vous en pensez quoi?
Et nous avons travaillé avec l'histoire de La belle au bois dormant (la version originale) cette semaine, en plus d'aller deux fois en randonnée à Orford pour profiter des belles journées de printemps.
:: Dessin de Mara ::
:: Travail d'Aïsha ::
Je me replonge dans mes lectures sur le unschooling ces temps-ci... Ça me parle de plus en plus. Les filles se rebutent à ce que je leur propose, elles trouvent ça difficile, n'ont pas de plaisir, n'ont pas envie de faire l'école... Ça devient une bataille en laquelle je ne crois pas, le système scolaire à petite échelle... La raison principale qui me fait choisir et rechoisir l'école à la maison : tuer le plaisir d'apprendre, la petite flamme, la spontanéité de l'enfant dans son impulsion propre...
On a tellement plus de plaisir quand je laisse couler, les projets affluent, elles demandent à écrire et le font de leur propre gré et l'effort demandé est tellement différent (ça peut leur prendre 20 minutes à copier la phrase qui accompagne le conte, ce qu'elles font parfois comme de vraies zombies... tandis qu'elles me demandent de leur épeler des phrases et des phrases pour accompagner un livre de leur propre conception qu'elles écrivent à une vitesse incroyable!).
Je compte continuer à présenter des contes d'ici à la fin de l'année, nous ferons un bloc d'introduction des voyelles (elles l'ont demandé) et une révision des mathématiques si ça leur parle (mais là encore, je crois qu'elles sont trop jeunes, elles ne saisissent pas réellement). En fait, dans la pédagogie Waldorf, l'enfant devrait avoir 7 ans pour la majeure partie de l'année en première année et je vois clairement que certaines choses sont trop avancées pour elles, comme la flûte notamment... Puis, comme Mathilde se joint aux leçons, je ne veux pas tout faire à la vitesse des plus grandes, c'est décourageant et frustrant pour elle...
Je vais laisser voguer un peu... et je verrai quelle direction nous prendrons à l'automne...
Vous avez célébré la pleine lune? Ici, nous avons fait une belle soirée de danse gitane avec le cercle de femmes! Que de plaisir!
Tuesday, March 15, 2011
Un air de printemps!
:: Première dégustation d'eau d'érable de l'année ::
N'oublions pas que les petits ont besoin de travailler! Mathilde a passé près d'une heure à râper des noix de muscade hier matin avec cette petite râpe. Un travail de concentration et de précision qui est aussi très utile. Elle était tellement plus centrée par la suite, plus calme... On peut aussi le faire avec des amandes pour faire de la poudre d'amandes...
Éventails et accordéons en aquarelle... Leur imagination n'a pas de limite!
Ces derniers jours, nous avons travaillé avec le conte de l'Homme le plus paresseux, un conte que les filles ont beaucoup aimé.
L’homme le plus paresseux
Il était une fois, il y a longtemps, un homme et une femme qui habitaient dans un petit village. Ils étaient pauvres et manquaient de nourriture et leurs enfants étaient habillés avec des vêtements déchirés. Tout cela parce que leur père était l’homme le plus paresseux du village.
« Pourquoi travailler? Pourquoi s’éreinter? Ne vous inquiétez pas. Aujourd’hui, nous sommes pauvres, mais un jour nous serons riches, disait-il à sa femme pour la rassurer quand elle lui demandait de se trouver du travail. »
« Nous mourrons de faim, disait-elle. Chaque jour, je te supplie d’aller travailler, chaque jour les enfants pleurent tellement ils ont faim et tu ne fais rien. Ça ne peut pas continuer comme ça! »
« OK, ma femme, OK. Je vais faire quelque chose. » Et finalement, le paresseux se leva d’en dessous de l’arbre où il dormait et alla trouver le vieux sage qui habitait dans les montagnes.
Il marcha pendant des jours et des jours et un jour, il rencontra un loup tout maigre sur son chemin.
« Où vas-tu, brave homme, demanda le loup. »
« Oh, je cherche le vieux sage, je vais lui demander comment devenir riche. »
« Ah, dit le loup, peux-tu me faire une faveur? Dis au vieux sage que j’ai un terrible mal de ventre depuis 3 ans. Peut-être connaîtra-t-il une façon de me guérir.»
« Le paresseux promit au loup de faire ce qu’il lui avait demandé et il continua à marcher. Il marcha pendant plusieurs jours encore, puis il arriva devant un pommier. »
« Où vas-tu, brave homme, demanda le pommier. »
« Oh, je cherche le vieux sage, je vais lui demander comment devenir riche. »
« Ah, dit le pommier, peux-tu me faire une faveur? Dis au vieux sage que chaque printemps je suis couvert de boutons de fleurs, mais qu’ils tombent tous et que je ne porte jamais aucune pomme. Peut-être saura-t-il quoi faire. »
Le paresseux promit au pommier de faire ce qu’il lui avait demandé et il continua sa route. Il marcha pendant une autre journée, puis il arriva à un lac.
« Un poisson sortit la tête de l’eau et dit : « Où vas-tu, brave homme? »
« Oh, je cherche le vieux sage, je vais lui demander comment devenir riche. »
« Ah, dit le poisson, peux-tu me faire une faveur? Dis au vieux sage que ça fait sept ans que j’ai mal à la gorge, comme si j’avais quelque chose de pris. Peut-être saura-t-il régler mon problème. »
Le paresseux promit au poisson de faire ce qu’il lui avait demandé, puis continua sa route. Il arriva bientôt aux montagnes où habitait le vieux sage. Il chercha et chercha et il arriva enfin à une grotte. Il passa la tête dans la grotte.
« Bonjour, mon ami, comment puis-je t’aider? demanda le vieil homme dans la grotte. »
« Ah. Le vieux sage! Oh, j’arrive de loin pour vous demander conseil, dit le paresseux tandis qu’il s’assit sans façon à côté du vieux sage. »
« Raconte-moi tes peines. »
Le vieux sage s’adossa au mur de la grotte et ferma les yeux tandis qu’il écoutait l’histoire du paresseux. Celui-ci lui parla du loup, du pommier et du poisson.
« Le poisson a un diamant pris dans la gorge et quand celui-ci sera enlevé, il ira mieux. Il y a un trésor au pied de l’arbre qui doit être déterré pour que l’arbre porte des fruits. Et le loup, et bien, son mal de ventre passera dès qu’il avalera le premier paresseux qu’il verra. Tu peux y aller, tu as entendu tout ce que tu avais besoin de savoir, dit le vieux sage. »
« Merci! Merci! Cria le paresseux tout heureux. » Il quitta la grotte du vieux sage. Quand il arriva au lac, le poisson était près de la rive, qui l’attendait.
« Qu’a dit le vieux sage? demanda le poisson. »
« Tu as un diamant de pris dans la gorge. Dès qu’il sera enlevé, tu iras mieux, dit le paresseux en se dépêchant pour continuer sa route.
« Mais attends, aide-moi à l’enlever! Tu pourras garder le diamant et devenir riche. Tu n’as qu’à m’aider, s’écria le poisson. »
« Non, dit le paresseux, je ne peux pas arrêter pour t’aider! Le vieux sage a dit que j’avais entendu tout ce que j’avais besoin de savoir. Je serai riche un jour! Et il se dépêcha à reprendre sa route.
Quand il s’approcha du pommier, le pommier lui cria : « Qu’a dit le vieux sage? ».
« Il y a un trésor sous tes racines. Dès qu’il sera enlevé, tu porteras des fruits, dit le paresseux en continuant sa route, sans s’arrêter. »
« Attends, cria le pommier. Attends! Viens déterrer le trésor. Tu peux le garder et tu seras riche! »
« Non, dit le paresseux. Je ne peux pas arrêter pour t’aider. Le vieux sage a dit que j’avais entendu tout ce que j’avais besoin de savoir. Je serai riche un jour! Et il se dépêcha à reprendre sa route.
Il marcha et il marcha, ses pas étaient légers à la pensée des richesses qui l’attendaient un jour. Bientôt, il croisa le loup.
« Qu’à dit le vieux sage? », demanda le loup.
Le paresseux était tellement fatigué qu’il s’assit un moment. « Et bien, dit-il, le vieux sage a dit que tu dois avaler le premier paresseux que tu rencontreras. »
« Ah, dit le loup pensivement, raconte-moi ton voyage. »
Le paresseux raconta au loup l’histoire du pommier et du poisson, ainsi que sa rencontre avec le vieux sage.
« Et as-tu aidé le poisson avec son diamant pris dans sa gorge? As-tu déterré le trésor qui se trouvait sous les racines du pommier?, demanda le loup. »
« Oh non, Non, je ne voulais pas m’arrêter pour faire ça! C’est trop de travail! Le vieux sage a dit que j’avais entendu tout ce que j’avais besoin de savoir. Je serai riche sans eux! »
« Et bien, mon ami, dit le loup. Tu m’as épargné la peine de chercher un paresseux. Tu es le premier paresseux que je rencontre. »
Le loup avala le paresseux en une géante bouchée. Et depuis ce jour, il n’a plus mal au ventre!
:: J'adore la perspicacité des filles : j'ai dessiné des pommes dans le pommier par automatisme, mais aussi le trésor au pied de l'arbre (qui dans l'histoire est la raison pour laquelle l'arbre ne peut porter de fruits et que quand le trésor sera déterré, le pommier portera des pommes). Elles ont tout de suite noté qu'il ne devrait pas y avoir de pommes dans le pommier sur mon dessin! ::
:: Travaux de Mathilde (les minuscules sont pas mal difficile pour elle, elle est encore trop jeune, mais veut faire comme ses soeurs! Quelle persévérance!) ::
:: Puis, nous avons fait du dessin de forme (la spirale) en aquarelle ::
Sunday, March 13, 2011
Comme une pousse...
Et puis, l'heure est à l'élagage, au tri... et il faut choisir juste ce à quoi on tient le plus (pas facile côté jouets!)...
Et les chats doivent se réhabituer à habiter dehors, car la nouvelle propriétaire est allergique, mais elle a accepté de les garder et de bien en prendre soin... Ils sont vraiment doués pour faire pitié!
Et tout cela parce que nous avons trouvé la maison parfaite pour nous! La maison idéale pour la location saisonnière pour accommoder nos projets de voyage et à 2 km d'un parc national! Les photos sont un peu moches, car j'ai photographié mon écran, mais ça vous donne une idée...
:: Trois portes-patio au rez-de-chaussé pour un maximum de lumière ::
:: Trois fenêtres dans le bureau! ::
:: Il nous faudra faire entrer les trois filles dans cette chambre! ::
Et côté école, nous avons lu l'histoire Les sept corbeaux des frères Grimm et nous avons travaillé avec ce conte. Puis, nous avons aussi poursuivi le dessin de forme.
J'aime comment chacune de leur représentation leur ressemble...
:: Aïsha ::
:: Mathilde ::
:: Mara ::
Wednesday, March 9, 2011
Aidons Jeunes Pousses!
Jeunes pousses a besoin de votre coup de pouce !
Et vous offre la chance de gagner des lots alléchants
À tous les amoureux des plaisirs de la table et de la saine alimentation, nous vous invitons à faire germer dans vos réseaux la campagne Un coup de pouce pour Jeunes pousses afin de nous aider à récolter 20 000 $ d’ici la fin mars.
Durant le mois de mars, Jeunes pousses met de l’avant une campagne de levée de fonds qui soutiendra deux des programmes de l’organisme soit Un trésor dans mon jardin et les ateliers d’éveil au goût.
Pour faire un don sécurisé en ligne :
http://www.jeunespousses.ca/fr/s.php?s=1450913134.
Les passionnés de la terre et de la bonne bouffe seront heureux de participer à cette campagne qui allie plaisir alimentaire à une bonne cause. Pour chaque tranche de 20$ en don à l’organisme, vous obtiendrez une chance de gagner des lots alléchants incluant notamment, un cours de cuisine avec Les Touilleurs et plusieurs autres prix.
Faites germer l’idée autour de vous ! Transmettez ce lien afin qu’un plus grand nombre d’enfants puissent s’initier au plaisir de bien manger cette année.
Jeunes pousses est un organisme national à but non lucratif voué à la promotion de saines habitudes alimentaires auprès des jeunes. À travers ses différents programmes, Jeunes pousses œuvre pour que les jeunes découvrent le plaisir de manger des aliments sains et produits localement et qu’ils développent une conscience écoresponsable de l’alimentation.